ENGLISHMAN IN NEW YORK.
Titre : comme vous l’aurez tous remarqué, un titre = une chanson, et donc pas de chanson FRENCHMAN IN SYDNEY, car pas de chanteur comme Sting …à part Damien Jean peut-être.
Jean-Luc : « Bon mon con, comment ça se passe l’américain, tu le parles bien ?! »
En tout cas mon petit Jean Lucounet, il est sur que je le parle mieux que certains français ne parlent notre langue ! … T’as pas compris ma française ?! … Nevermind.
L’anglais c’est un peu comme la météo tu sais (d’ailleurs je parle 3 fois plus du temps qu’il fait qu’en France alors qu’il change 3 fois moins…), il y a des jours où le soleil brille, les oiseaux chantent et te font un massage thaïlandais, tu peux enchainer n’importe quelle phrase en anglais, tu te sens comme le Bernard Pivot australien.
Et d’autres jours où le temps est diluvien, tu as beau avoir toute la motivation nécessaire, tu pédales dans la choucroute : Gays in the shoocroute.
Et encore d’autres où c’est un temps mi figue mi raisins, donc tu fous un peu de figue et un peu de raisins, du genre : « I don’t know, I reckon it’s a good idea mais bon… » ou alors «I can’t go with you parce que in fact I’m going à la swimming pool… ».
L’audience est tiraillée.